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Titre : | La fille de Deauville : roman |
Auteurs : | Vanessa Schneider, Auteur |
Editeur : | Paris : Bernard Grasset, DL 2022 |
ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-246-81723-9 |
Format : | 1 vol. (265 p.) / 21 cm |
Langues: | Français |
Index. décimale : | 843 |
En cette journée glaciale de février 1987, l’inspecteur Luigi Pareno, en planque avec le GIGN, s’apprête à fondre sur une ferme reculée du Loiret. Quatre membres du groupe terroriste Action Directe, fondé par Jean-Marc Rouillan et sa compagne Nathalie Ménigon, dont les têtes sont mises à prix dans toute la France, y ont été repérés. Pour Luigi Pareno, qui traque depuis dix ans ces extrémistes de la violence anticapitaliste, spécialisés dans le braquage des banques, le vol de tableaux et l’assassinat de personnalités, l’enjeu est crucial, d’autant que, parmi les quatre délinquants, figure Joëlle Aubron, belle blonde distinguée, « la fille de Deauville », dévoyée de son milieu bourgeois et pour laquelle il éprouve une fascination ambiguë.
Dans ce roman des « Illusions perdues », construit sans « festons » inutiles et porté par une prose fluide et distancée, Vanessa Schneider (Tu t’appelais Maria Schneider, Les Notes août 2018), journaliste au Monde, livre une chronique édifiante des marges dans les années 70 : groupes libertaires glissant vers la lutte armée, après la capitulation des « Maos » et des « Trotskos », et l’éclatement des communautés squats, adeptes des paradis artificiels. Le récit s’attache à la personnalité de Joëlle Aubron – révoltée contre son milieu de bourgeoisie déclassée tout en s’accablant d’en conserver les conditionnements – dont l’auteure trace un portrait psychologique sensible. (D.M.-D. et A.M.)
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Dans ce roman des « Illusions perdues », construit sans « festons » inutiles et porté par une prose fluide et distancée, Vanessa Schneider (Tu t’appelais Maria Schneider, Les Notes août 2018), journaliste au Monde, livre une chronique édifiante des marges dans les années 70 : groupes libertaires glissant vers la lutte armée, après la capitulation des « Maos » et des « Trotskos », et l’éclatement des communautés squats, adeptes des paradis artificiels. Le récit s’attache à la personnalité de Joëlle Aubron – révoltée contre son milieu de bourgeoisie déclassée tout en s’accablant d’en conserver les conditionnements – dont l’auteure trace un portrait psychologique sensible. (D.M.-D. et A.M.)
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Exemplaires
Code-barres | Cote | Localisation | Section | Disponibilité |
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a0060324941 | R SCH F | Cagnes-sur-Mer | Romans | Disponible |
A0061034059 | R SCH F | Juan-les-Pins | Romans | Disponible |
A00601051039 | R SCH F | Nice Chateauneuf | Romans | Disponible |
A0060215027 | R SCH F | Vence | Romans | Disponible |