Août 2003 : alors que la canicule sévit à Paris, une série de meurtres atroces mobilise la petite équipe de la « Criminelle » que dirige le commissaire Mistral, mal remis d'une grave blessure. Entre le meurtrier, souffrant de schizophrénie, et le policier, victime d'angoisses et d'insomnies, une guerre de tranchées s'installe : audace et manipulation d'un côté, énergie et ténacité de l'autre en dépit des échecs, des tensions et de l'épuisement. Génétique et psychanalyse sont les clés d'un secret que Mistral percera par la psychologie. Dans ce second roman, Jean-Marc Souvira poursuit une oeuvre littéraire qu'il veut mettre au service d'une Police judiciaire respectueuse de vertus éthiques, résolument moderne dans ses techniques, humaine dans ses rapports avec la société et les citoyens. L'écriture est déliée, sans artifice, précise et sèche sur l?événement, comme un compte rendu, pénétrante et subtile dans l'introspection ou l'examen des faits, soutenant bien l'étrange, l'anormal, et parfois l'horrible. (source : les-notes.fr)